Un bien joli dimanche d'automne !

On en revient tout juste, et ce fut une vraie réussite. Nous avions en tête d'organiser un rassemblement sportif pas vraiment compétitif, pas vraiment difficile, pas vraiment high tech, mais avant tout "éco", ouvert à tous, chaleureux, convivial, sans prise de tête... Alors, lorsqu'a germé l'idée de monter une "opération sport" pour un groupe d'ami(e)s salseros très bons danseurs mais pas "top chrono", on n'a pas hésité une seconde. Et ça a donné çà: un bike&run* de 6km sur un joli parcours automnal dans le bois de Verrières (banlieue sud de Paris), mixte (un gars & une fille), intergénérationnel (les enfants qui courent avec les parents), et non chronométré (mais avec classement, histoire d'entretenir une petite motivation pour celles et ceux que ça démange...). Covoiturage jusqu'au point de rassemblement place de l'obélisque. Et goûter-maison avec des gâteaux bio et des jus 100% fruits à l'issue de la course. Bon... il y avait bien une bouteille de coca et quelques gobelets en plastique qui traînaient là par erreur, mais à part ça... Impact environnemental nul ou presque, impact psycho-social maximal (que de sourires en fin d'épreuve). Quant à l'impact économique... l'opération était gratuite ! Et la question qui fuse au moment où chacun reprend la route : à quand la prochaine épreuve ?

La date du prochain happening n'est pas encore fixée, c'est sans doute l'actualité qui décidera pour nous.

* Epreuve au cours de laquelle 2 coureurs (avec un seul vtt) parcourent un circuit d'une distance donnée en alternant course à pied et vtt (l'un court pendant que l'autre roule, et le duo peut décider à tout moment d'inverser les rôles).

Des projets et des hommes...

SVPlanète étend chaque jour son réseau de contacts à travers le monde, et multiplie les rencontres avec des sportives et des sportifs de tous niveaux qui mettent en oeuvre des projets éco-sport à nos yeux exemplaires. Nous avons choisi aujourd'hui de vous en présenter trois, qui reflètent à merveille les "envies de vert" que notre univers-sport éprouve de plus en plus. Les voici en quelques lignes :

Arian Lemal, le balayeur des cîmes (www.arianlemal.fr) L'homme est un humanoïde humain et humaniste. Il prend son pied à le mettre devant l'autre pendant des heures et des heures en haut montagne, et à nettoyer tous les sommets de la Planète que d'autres ont lamentablement pollués. Ne lui parlez de rien d'autre, c'est sa vocation. Un pur et dur. Un vrai, un tatoué. Des cîmes de l'Aconcagua à celles du Népal, des Alpes à la Nouvelle-Zélande, Arian est partout où le devoir l'appelle. Ce balayeur des cîmes couvre en randonnée physique et technique des centaines de kilomètres là haut dans les nuages avec ses sacs de déchets, d'abord vides puis pleins à craquer. Mais sa passion coûte les yeux de la tête à cet étudiant en fin de cycle universitaire. Sera-t-il obligé de mettre le balai sous la porte et aller bosser comme tout le monde? Avouons-le, ce serait vraiment trop nul... Si vous avez une idée de génie pour l'aider financièrement ou que vous arrivez à convaincre un sponsor potentiel de mettre la main au portefeuille pour relayer ses efforts extraordinaires en faveur de la Planète, on vous suit à 110%, car l'homme en vaut vraiment la peine...

Alexia Barrié vogue 4myplanet (www.alexiabarrier.com) Alexia n'est même pas trentenaire, mais elle est déjà reconnue dans l'univers de la voile comme un super skipper. Son projet 4myplanet est limpide comme une eau du large qui n'aurait pas été polluée par des rejets d'hydrocarbures: il s'agit pour elle d'embarquer pour un tour du monde en solitaire à la voile sans aucune émission de CO2. Mais... si elle est à la voile, me direz-vous? Que nenni ! Un voilier a très souvent recours aux énergies fossiles pour entrer ou sortir d'un port, pour décoller un peu quand il n'y a pas un poil de vent, pour recharger les batteries d'un système électrique, etc. Alexia veut être la première à démontrer qu'il est possible de réaliser une circumnavigation totalement verte. Elle embarquera un moteur électrique sur son 60 pieds spécialement aménagé pour effectuer des tonnes de tests scientifiques... joli challenge en perspective ! On espère seulement qu'il n'y aura pas 500 bateaux à moteur crachant des tonnes de gaz à effets de serre pour la suivre à sa sortie du port en décembre prochain !!!

Yann Jeannin, le cavalier vert (www.projet5000.com) Réaliser un tour de France à cheval d'environ 5000 km en 120 jours, en solitaire (enfin... avec son cheval !) au rythme de 50km par jour et 6 jours par semaine, voici le défi dans lequel s'est engagé Yann Jeannin. Partir à la rencontre des Français en milieu rural, échanger des expériences et des solutions durables en matière de tourisme vert ; démontrer que la randonnée équestre constitue un formidable moyen de traverser et découvrir les espaces, sites et itinéraires du territoire national ; et réussir le tout sans malmener sa jument Querida : voici les objectifs que s'est fixée cette très forte personnalité, qui n'aime pas "la mauvaise foi, les anchois, et la tournure que prend le monde..." On adore, et on vous conjure de suivre son périple programmé au cours de l'année 2010 en vous abonnant à sa newsletter !

Si vous-mêmes possédez un projet éco-sportif intéressant, ou que vous connaissez quelqu'un engagé dans une aventure de ce type, dîtes-le nous ! Nous nous ferons un plaisir de relayer cette information dans notre réseau éco-sport.

Un peu d’éco dans votre assiette…

On l’a dévoré, on l’a adoré, alors on vous en parle ! Le WWF et l’association de préservation du patrimoine culinaire Euro-Toques viennent d’éditer un ouvrage intitulé Planète cuisine, cuisiner en respectant la nature.
L’ouvrage est organisé en six parties constituant autant de thématiques extrêmement cohérentes au regard de l’objet de l’ouvrage : une alimentation écologique ; en campagnes ; de la forêt à l’assiette ; entre terre et eau ; la mer ; une cuisine écologique.
L’opus combine des recettes à vous taper la tête contre les murs, et des informations & conseils de première importance visant notamment à nous alerter sur l'impact de notre consommation sur l’environnement et sur notre santé. Jugez plutôt :
Aux côtés de délices incomparables, tels que : « coquilles Saint-Jacques au garam masala, déclinaison de betteraves et de carottes anciennes », « tarte fine de jeunes légumes de printemps et saumon fumé MSC », « basses côtes façon osso-buco, cresson et fèves des marais », ou encore « ail de Lautrec en velouté et rillette de jambon fumé du Haut-Doubs » et « chasselas de Moissac aux noisettes et au banyuls », recettes concoctées et présentées par des artisans cuisiniers totalement toqués d’alimentation saine, on apprend des tonnes de choses croustillantes sur : les 12 espèces d’algues qu’on peut cuisiner en France ; l’importance d’acheter bio en vrac ; la baisse de la consommation de fruits frais au profit de jus de fruits « transformés, emballés, sucrés, conservés » ; la surconsommation de protéines animales et ses effets nocifs sur la santé et l’environnement ; les émissions comparées de gaz à effets de serre pour produire 1kg de bœuf, de poulet, de porc ou de veau ; les bienfaits du sel de mer artisanal, etc.
En prime, 4 conso-guides pour une consommation responsable sont offerts en annexe à l’ouvrage : un conso-guide pour une consommation responsable des produits de la mer, deux conso-guides des saisons (viandes et produits de la mer ; produits maraîchers et cueillette), et un conso-guide des labels alimentaires.
On aurait sans doute aimé quelques conseils concernant l’accompagnement en vins de ces plats ô combien délectables (nous ne sommes pas Français pour rien !), ou tout au moins un petit chapitre sur les vins bio. Mais ne faisons pas la fine bouche devant tant d’opulence gastronomique. Et courez acheter ce guide de l’écogourmand, édité bien entendu sur du papier FSC par un imprimeur certifié ISO 9001 !

Le syndrome du Titanic: voici pourquoi nous avons aimé

Nous avions senti une évolution dans le discours de Nicolas Hulot (et les initiatives de sa Fondation) ces derniers temps. Et même s'il s'en défendait habilement ("ce ne sont pas mes propos qui se radicalisent, c'est la situation"), nous attendions avec une certaine impatience la sortie de son film, avec le secret espoir qu'il soit un peu moins soft que le Home très "plastique" de Yann Arthus Bertrand.
Et nous n'avons pas été déçus ! Car même si les esprits chagrin lui reprocheront le manque de jolies images type Ushuaia, un ton trop monocorde, ou encore l'intellectualisme ardu de certains de ses propos et le manque de solutions qu'il apporte concrètement, le "petit Nicolas" a frappé haut et fort, et bouleversé la donne, en rompant avec le discours trop convenu de ces dernières années, où il était de bon ton d'informer mais surtout sans alarmer pour ne pas provoquer de réaction de rejet...
Dans le syndrome du Titanic, Hulot rattrape son retard historique, il dérange et déroute, en multipliant les images chocs d'un monde devenu complètement fou, face auquel il s'avoue tristement perdu. L'abondance obcène d'un côté et la misère sans fin de l'autre. Un consumérisme absurde qui suce le sang de la Planète. Quelques jean(gens)-qui-ri(en)t quand beaucoup d'autres pleurent. Une machine infernale où Hulot mélange pêle-mêle (avec un certain brio visuel et sonore qui n'est pas sans rappeler Kubrick à certains moments) le rush des soldes et la désespérance des plus démunis, les jeux vidéos guerriers dont se soûle la jeunesse insouciante et les interventions meurtrières et chirurgicales de l'armée américaine, ou encore les incantations d'un prêtre chanteur dans une communauté noire et celles des milieux boursiers décidant du cours mondial des céréales. Les bulles à oxygène des chiots de riches nous choquent, tout autant que les cages à poules dans lesquelles survivent les miséreux chinois. Les immondices des quartiers pauvres africains ou américains rendent vulgaires ces poupées japonaises méticuleusement fardées, et sordides ces centres commerciaux immaculés...
Le syndrome du Titanic appuie là où ça fait mal, et c'est tant mieux. Car à force de (ne) montrer (que) de jolies images de la Planète, et de (ne) chercher (qu')à responsabiliser sans déstabiliser et brusquer, les défenseurs de la petite bleue en oublieraient presque d'évoquer l'état réel du monde et l'absolue nécessité qu'il y a de convaincre, par tous les moyens existants ou restant à inventer. Le syndrome du Titanic arrive donc ici à point, car il n'aurait pas fallu se suffire de Home, dont il est le parfait complément et contrepoint.
Enfin, et c'est peut-être par là qu'il aurait fallu commencer : le syndrome du Titanic porte merveilleusement bien son nom, même s'il aurait très bien supporté d'être intitulé "une vérité qui dérange, le retour" : nous sommes embarqués dans une galère de luxe comme les passagers du Titanic il y a presque cent ans : nous ne dout(i)ons pas de son invulnérabilité ; nos gouvernants n'ont pas (encore) changé de cap alors que l'iceberg est là, devant nous, aussi visible que le nez au milieu du visage ; pire, les orchestres du tout-va-bien jouent toujours plus fort alors même que le bateau va commencer à s'enfoncer dans les eaux... reste un quatrième et dernier chapitre à écrire, dont la fin se joue à l'heure actuelle (décideurs de Copenhague, priez pour nous... et agissez !) qui, si le scénario est catastrophe, n'épargnera personne, pas même les passagers de première classe...
Allez voir ce film événement, parlez-en dans votre entourage, et voyez en vous et autour de vous ce qu'il est possible de faire pour contribuer, individuellement et collectivement, à promouvoir cette "sobriété heureuse" qui nous fait tellement défaut !

JO 2016 à Rio... un bon choix, enfin !!!!

Nous avons été enchantés d'apprendre que Rio allait organiser les Jeux Olympiques d'été 2016, et ce pour de multiples raisons:

D'abord, le Brésil était le seul des pays en lice a n'avoir jamais accueilli les JO, une lacune qu'il partageait d'ailleurs avec l'ensemble du continent sud américain, et qu'il convenait de corriger

Avouons-le ensuite, les autres candidatures (Tokyo, ultra chère et polluée; Chicago, USA qui n'ont guère la cote depuis l'ère Bush et le début de la guerre en Irak; Madrid... encore l'Espagne !) ne faisaient rêver personne...

Le Brésil est un pays jeune, dynamique, pacifique, fou de sport et de musique, et extrêmement attachant

Le Brésil focalise l'attention internationale en matière d'environnement, et la préparation des Jeux permettra de stimuler les débats et avancées sur ce thème

Le Brésil a besoin de coups de pouce politiques majeurs pour accéléler son développement et se faire connaitre autrement que par son carnaval, ses plages, son football et la déforestation de sa forêt amazonienne

Le Brésil est un pays très réactif et capable d'une transformation radicale quand l'enjeu et la motivation sont de taille, et nul doute que l'organisation de la Coupe du monde de football en 2014 et des JO en 2016 contribueront à accélérer cette révolution (comme en témoignent déjà les réalisations opérées à l'occasion de l'organisation des Jeux panaméricains en 2007 à Rio)

Enfin, SVPlanète voue une affection toute particulière à ce pays, qui accueille chaque année depuis 2004 les Eco-Games Amériques, une organisation franco-brésilienne dont nous assurons la coordination, et qui permet à des centaines de jeunes des communautés locales souvent peu fortunées de rencontrer des sportifs français de tous âges et de tous niveaux, au cours d'un festival multisport sans autres enjeux que la découverte d'un environnement naturel extraordinaire, et d'une culture locale riche et joyeuse. SVPlanète organise à cette occasion une grande collecte d'équipements sportifs destinés à ces jeunes (cf. autre article sur ce blog)... pensez-y !

Au delà donc des représentations que les uns et les autres se font du système olympique, et des critiques acerbes qui souvent en résultent, osons dire (pour une fois depuis bien longtemps) que le choix de la ville hôte des Jeux contente le bon peuple... davantage en tout cas que celui de Pékin !!! La fête sera immense soyez-en sûrs...

Un conseil pour finir (à consommer dès à présent, mais avec modération): entraînez-vous à préparer une bonne caïpirinha*, et n'hésitez pas à opter pour le vert et or (auriverde) au niveau vestimentaire, ça va être très tendance !!!!!



* Le cocktail national brésilien, composé à partir de cachaça (alcool de canne à sucre), citron vert, sucre de canne et glace pilée

SVPlanète et le monde de l'argent

Il est toujours délicat de parler d'argent. C'est un sujet qui fâche et qui divise les hommes, bien souvent... Et c'est la raison pour laquelle notre association se décarcasse et milite pour trouver des solutions viables, vivables et équitables pour éviter tout recours majeur aux ressources en numéraire dans ses activités & actions, et celles qu'elle soutient ou préconise.
Ainsi, lorsque nous organisons les Eco-Games ou que nous intervenons sur le terrain auprès des organisateurs, les solutions éco que nous proposons s'appuient toujours sur une minimisation de l'investissement financier et la maximisation des solutions en "nature", par échange ou substitut.
Mais penser s'affranchir totalement du monde de l'argent demeure un rêve quasi irréalisable.
Lorsque nous organisons notre collecte annuelle d'équipements sportifs que nous distribuons ensuite aux communautés sans ressources de la préfecture d'Itacaré au Brésil, dans le cadre des Eco-Games Amériques, nous ne pouvons échapper aux dépenses liées à l'acheminement des colis vers le Brésil.
Lorsque nous aidons une collectivité, un club, un organisateur, un pratiquant dans leur projet éco-sportif, certaines des dépenses engagées par notre association ne nous sont jamais remboursées.
Lorsque nous passons des heures au téléphone ou sur le Net chaque jour pour répondre à vos demandes, apporter de l'information et des solutions vertes au monde du sport, il nous faut payer des factures d'opérateurs qui se fichent éperdument de nos problématiques humanistes.
Précisons ici que nos responsables et notre staff sont bénévoles à 100%.
Voici pourquoi nous avons mis en place un système de cotisations annuelles et de dons, ouverts à tous, quel qu'en soit le montant*, pour vous offrir l'opportunité de nous aider à atteindre nos objectifs, si vous en ressentez le besoin et l'envie.
Par ailleurs, nos interventions auprès des collectivités, organisations, fondations, structures et organismes publics ou privés donnent lieu à la signature de conventions permettant le versement de subventions ponctuelles ou périodiques.
Nous sommes heureux de pouvoir vous présenter notre approche dans ces lignes, et comptons sur votre soutien ou celui de vos contacts dans un avenir proche. Merci d'avance.

* Vos cotisations et vos dons
sont à envoyer à l'adresse de notre association sous forme d'un chèque libellé à l’ordre de « SVPlanète », ou par virement bancaire (coordonnées sur demande).

SVPlanète et l'Europe...

Le 29 septembre dernier, nous étions conviés par la région Ile-de-France à participer à Bruxelles dans le cadre des instances de l'Union européenne à une journée de réflexion sur le thème du développement durable.
La réunion (capitale!) de tous les Etats de la Planète à Copenhague en décembre prochain sur les moyens à mettre en oeuvre pour lutter contre le réchauffement climatique était bien sur au centre de toutes les discussions. Et nos inquiétudes quant aux résultats de cette rencontre n'ont fait que croître à mesure des débats et de nos entretiens avec les représentants européens, car il y était davantage question de gros sous et d'intérêts de chapelle (si la Chine... alors les Etats-Unis... mais l'Europe... blabla) que de mission supérieure des Etats "unis" pour le bien des générations futures...
Rien de bien nouveau sous le soleil donc (politique, quand tu nous tiens...), et une confirmation: n'attendons pas que le global agisse, poussons localement pour accélérer les choses, car nous sommes les acteurs d'un changement rapide et efficace, nous les petits artisans du terrain qui trouvons au quotidien des solutions cohérentes et durables pour limiter la casse...
Inquiétude donc, mais furieuse envie de continuer à agir, ici et maintenant, avec vous qui nous soutenez ou êtes en passe de la faire... Le coeur de métier de SVPlanète, c'est le sport (toujours très important en période électorale, quand il s'agit de médailles olympiques ou de la santé des Français, mais soigneusement laissé à l'écart des débats lors des grands rendez-vous tels les Grenelles de l'environnement...), mais un sport "repeint en vert" pour être plus crédible aux yeux de ses détracteurs (qui ont bien souvent raison de critiquer ses dérives), et plus en phase avec les urgences planétaires actuelles.
Coup de gueule des membres de SVPlanète... S'il Vous Plait, décideurs du monde entier, réveillez-vous !!!!!

SVPlanète et facebook

Depuis quelques semaines, notre association est présente sur le réseau social facebook. C'est un mode de communication gratuit, non impactant, dynamique et très enrichissant sur le plan des informations recueillies auprès des internautes sensibilisés au sport et à l'environnement.
A intervalles réguliers nous posons des questions simples, qui touchent le plus grand nombre et nous renseignent sur les opinions, comportements, croyances et connaissances de nos amis. Ainsi avons-nous récemment demandé: "sportifs, pensez-vous que tous les compétiteurs devraient disposer d'équipements rigoureusement identiques, pour que la hiérarchie sportive s'appuie sur la performance de l'homme et non pas de la technologie ?" ou encore: "sportifs, accepteriez-vous que les organisateurs de vos compétitions vous proposent de l'eau du robinet plutôt que de l'eau minérale sur vos ravitaillements?". Les réponses fusent, les débats s'engagent et tout le monde gagne dans cette interaction fructueuse. Nous continuerons donc à initier des discussions éco-sport, et convions chacun d'entre vous à nous rejoindre dès à présent sur notre pseudo facebook didier svplanete. N'hésitez pas non plus à en parler autour de vous, car plus nous serons nombreux dans cet espace de discussion libre et informel, meilleurs seront nos échanges.
Note: les réponses à toutes nos questions peuvent nous être adressées sur facebook (mur ou message), ou par e-mail à svplanete@hotmail.fr ou svplanete@cegetel.net